Texte à méditer :   L'imagination est l'oeil de l'âme.   Napoléon Bonaparte

Le contacté Carlos Diaz

Carlos Diaz, homme modeste et discret, photographe de son métier, vit avec sa famille aux alentours de la ville de Tepoztlan. Ce jour là, un matin de janvier 1981, Carlos Diaz pénètre sur le parking désert du Parc d'Ajusco, près de Mexico. Il a rendez-vous avec un journaliste dont il doit illustrer un article sur le parc pour un magazine de Mexico. Etant le premier arrivé, Diaz reste assis dans sa voiture tout en vérifiant et préparant son matériel photographique. Bien que ce soit tôt le matin, l'air est déjà imprégné d'humidité au point que le seul fait de rester assis devient vite inconfortable.
Diaz commence à consulter sa montre avec impatience car le soleil va bientôt se lever et il n'a pas commencé à effectuer ses repérages. Soudain, son attention est attirée par une étrange lumière jaune montant de la vallée qui s'étend au-dessous de lui. Il pense d'abord à un feu de forêt mais, un instant plus tard, la source lumineuse se dévoile : un grand ovni orangé, de forme ovale, plane à une trentaine de mètres de sa voiture.



N'en croyant pas ses yeux, Diaz saisit sur le champ son appareil. L'ayant calé sur le volant, il prend une série de clichés à toute vitesse. Sentant la voiture violemment secouée, Diaz finit par sortir du véhicule en prenant encore deux photos. Ce seront les dernières : l'engin file à la verticale dans le ciel, laissant le Mexicain sous le choc.


Cette surprenante rencontre n'était en fait qu'une première étape et Diaz était loin de se douter de ce qui allait suivre. En effet, il restait au photographe mexicain à vivre une série d'évènements impressionnants qui allaient faire passer, ce qui n'était au départ qu'une observation de plus dans une région largement reconnue comme un point chaud ufologique, à un des cas les plus importants de ces dernières décennies.
Dans les jours qui suivirent son observation, Diaz resta bien entendu préoccupé par l'expérience qu'il avait vécue. Incapable d'oublier ce qu'il avait vu, il retourna régulièrement au Parc d'Ajusco, avec l'espoir de faire d'autres photos. Après une succession de visites infructueuses à différentes heures du jour et de la nuit, Diaz commença à se dire qu'il perdait son temps. Mais le 23 mars, sa patience finit par être récompensée.


Alors qu'il parcourait les étendues verdoyantes, les yeux rivés au ciel, Diaz fut soudain conscient de la présence d'un OVNI par une lueur orange qu'il croyait distinguer au travers de l'épais brouillard et de la pluie saturant la forêt du Parc d'Ajusco. Il remonta donc précipitamment à pied le long du flanc de la vallée, et s'efforça de se placer à environ 45 m de l'objet.
Là, le photographe put observer tranquillement « l'appareil » qui planait au-dessus de lui et dont émanait une lumière orange brillante. Selon les propres descriptions de Diaz, il était en forme de dôme avec un anneau lisse en son milieu et était recouvert de nombreuses demi-sphères d'environ un mètre de diamètre chacune.
Accroupi derrière des rochers, Diaz se croyait en sécurité. Absorbé par l'observation de l'engin, il ne sentit pas qu'une présence s'était approchée de lui, dans son dos. Tout à coup, on lui empoigna l'épaule et Diaz s'évanouit immédiatement. Quand il reprit conscience, la nuit était tombée et l'OVNI n'était plus là.
Il découvrit que ses vêtements étaient complètement secs alors que, manifestement, la pluie n'avait pas cessé de tomber. C'est alors qu'il comprit que quelque chose de vraiment étrange lui était arrivé. Diaz retourna au parking quelque peu « sonné ». Il ouvrit le coffre de sa voiture pour ranger son matériel et il sursauta violemment car, au moment où il referma le coffre, il vit une entité humanoïde avec des cheveux blonds près de lui. S'exprimant en anglais, clairement mais avec une voix sans tonalité, elle lui dit que s'il désirait en savoir plus sur ce qui lui était arrivé, il n'avait qu'à revenir au même endroit le lendemain à midi.
Après avoir dormi d'un sommeil de plomb, Diaz revint sur le parking. Sous le soleil zénithal, l'entité l'attendait, assise en tailleur sur l'herbe. Le photographe se souvient : L'être me regarda longuement sans rien dire. Comme il m'avait fixé rendez-vous, j'attendais qu'il prenne la parole. Enfin, il finit par m'expliquer que c'était lui qui m'avait empoigné par l'épaule la veille. Il me raconta qu'une fois inconscient, il m'avait emmené à l'intérieur de son vaisseau. Selon lui, je devais en retrouver peu à peu le souvenir. Effectivement, comme cela le lui avait été prédit, la mémoire revint progressivement. Diaz se souvint que l'engin avait plané au-dessus de sa tête et quand il avait essayé de le toucher, sa main avait paru être absorbée par la lumière jaune.
L'épisode suivant dont il se souvenait était l'appareil posé sur une plate-forme dans une caverne immense. Ses souvenirs de l'endroit devinrent très précis : Il y avait plein de stalagmites dont certaines étaient gravées de sculptures ressemblant à celles des Mayas. La caverne était peuplée de ces êtres étranges. Certains m'ont fait des signes de la main et, sans pouvoir m'en empêcher, je leur ai aussi fait signe. Le « guide » de Diaz l'aurait guidé ensuite entraîné vers une cavité plus étroite abritant sept objets lumineux en forme d'oeuf mais à l'échelle humaine. À sa grande surprise, Diaz fut invité par l'entité à en choisir un et à s'installer dedans en position foetale.
Une fois à l'intérieur, Diaz ne vit d'abord qu'une lumière jaune. Puis il se retrouva entouré par l'image d'une forêt. Je pouvais en distinguer chaque détail, comme si je m'y promenais. J'en sentais la température, l'humidité et l'odeur de l'humus montant du sol. Je pouvais tout voir et tout ressentir sans y être présent physiquement. Son guide lui apprit que ces « oeuf » constituaient un système d'archivage de l'information. Certaines données lui avaient déjà été transmises mentalement. Puis Diaz avait été raccompagné au vaisseau et déposé dans le parc.


A en croire Carlos Diaz, ceci ne fut que le premier d'une série de contacts avec les mêmes êtres. Depuis 1981, Diaz affirme que des séjours répétés dans les objets en forme d'oeuf lui ont permis de « voyager » dans différentes zones de l'éco système terrestre : forêts, jungles, bords de mer, déserts, régions arctiques. Diaz affirme avoir pris une conscience toute particulière de l'interconnexion existant entre toutes formes de vie et du besoin impérieux de protéger l'environnement.

  

Petit complément d'enquête : Les « Maîtres des Etoiles »



D'après Carlos Diaz, son contact extraterrestre lui aurait raconté que la race a laquelle il appartenait, connaissant l'Amérique du Sud depuis des millénaires, avait établi des relations particulières avec les cultures aztèques et surtout mayas. Cette information serait étayée par le fait que la ville mexicaine de Tepoztlan doit son nom à Tepoztco, le fils du dieu aztèque Quetzalcoalt (serpent à plumes) qui, selon la légende, serait descendu du ciel pour apporter la connaissance aux populations locales. Une des prophéties mayas soutient justement qu'après la naissance du « sixième soleil » (correspondant à l'éclipse solaire mexicaine du 11 juillet 1991), les « Maîtres des Etoiles » devaient revenir.
Selon Carlos Diaz, la région considérée comme étant sacrée depuis des siècles, a connu une vague d'observations d'OVNI impressionnante cette année là.

  

Que faut-il en penser... à vous de juger !


Date de création : 05.11.2019 » 14:21
Catégorie : - Extraterrestres
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