Texte à méditer :  Tous les pays qui n'ont plus de légende seront condamnés à mourir de froid.   Patrice de La Tour du Pin

Les 3 dernières histoires

Trésors enfouis à découvrir > Les diamants de Murat - le 13.04.2025 » 09:12 par Chantal_Belgique


Année 1843 - France (Hérault) : Pézenas
Le trésor de Pomaradès



Pézenas, 18 février 1843. Jean Pomaradès, bandit de 40 ans environ, reconnu coupable de nombreux vols et meurtres dans la région était guillotiné publiquement.
En une quarantaine d'attaques de fermes et de riches marchands rentrant de foire, Jean Pomaradès avait accumulé une véritable fortune. Quand lors de son procès, les juges lui demandèrent où cet or était caché, il sollicita qu'on l'accompagne dans le bois de Caussiniojouls près de Bouleran, où il révèlerait l'emplacement de la cache à condition qu'on lui laisse la vie sauve. Le procureur du Roi n'accepta pas le marchandage, et Pomaradès fut promptement exécuté sans avoir pu se rendre sur place. Son trésor y dort toujours.
Evoquons cependant un souterrain, situé à 3 km environ de Béziers, sur la route de Bessan. Il est localement désigné comme le Trou-de-Pomaradès, et la légende affirme que c'est dans cette tanière que le bandit dissimulait le fruit de ses rapines.
Alors pourquoi allez ainsi chercher là, de façon hasardeuse, ce que Jean Pomaradès lui-même désigna comme caché dans le bois de Caussiniojouls ?

Alors à vous de voir !

  


Année 1815 - France (Corse) : Ajaccio
Les diamants de Joachim Murat



En 1815, Joachim Murat, alors qu'il fuyait son royaume de Naples perdu après la débandade napoléonienne et reconquis par les Autrichiens, se rendit à Ajaccio avec la ferme intention de former une petite armée. Vite entouré par près de 1000 partisans, Murat se prend à rêver d'une reconquête de Naples. Une expédition est montée à la hâte, comprenant 6 navires. Partie d'Ajaccio le 28 septembre 1815, puis essuyant une tempête, elle arrive forte de seulement 2 navires le 8 octobre devant le petit port calabrais du Pizzo. Là un guide, un traitre à la solde des Autrichiens, conseille à Murat de débarquer pour se ravitailler en eau. Bien mal lui en prit, Murat fut capturé et après un procès de pacotille fut fusillé.
Mais voilà, pour lever ses troupes en Corses, Joachim Murat avait laissé en gage au commandant Bernardin Poli, bonapartiste et franc-maçon, 60 diamants dont un dépassait 12 carats. Après la mort de Murat, Poli conserva ce dépôt qui attira la convoitise du marquis de Rivière, gouverneur de l'île. Rivière leva alors une armée de plusieurs milliers d'hommes pour assaillir Ajaccio et s'emparer des diamants. Bernardin Poli et quelques fidèles bonapartistes, pour la plupart des bergers, se réfugièrent dans des caches naturelles des montagnes avec les diamants dont, par la suite, on n'entendit plus parler.

A vous de voir !

  


Année 1815 - France (Loire) : Saint-Etienne
La cassette du Maréchal Brune



Le Maréchal Brune, un des maréchaux de Napoléon, fut assassiné par les royalistes à Avignon le 2 août 1815. Le principal responsable de cet assassinat, un nommé Jacques Dupont dit Trestaillons, vint se réfugier à Saint-Etienne. Il y fut arrêté mais son jugement n'eut jamais lieu faute de témoins. C'est étrangement aussi à Saint-Etienne que se serait aussi réfugié l'aide de camp du Maréchal Brune. Après le meurtre de son maître, l'officier se serait enfuit précipitamment de la ville d'Avignon emportant avec lui la cassette du maréchal contenant plus de 100 000 francs en or, des billets, des bijoux et des pierres précieuses. Il serait descendu à l'auberge du sieur Chomier, à Polignais. Il en serait sorti pendant la nuit pour aller cacher la cassette à une petite demi-heure de la ville, dans une grande prairie en vallée descendant à Saint-Etienne, près d'un réservoir d'eau, à gauche de la route de Puy. Par la suite, l'officier fut incarcéré à Lyon et c'est de sa prison qu'il écrivit à un habitant de Saint-Etienne, le voiturier Durand dit Paturaud, pour lui demander de récupérer la cassette et solliciter quelque argent à valoir sur le trésor. Paturaud remua toute la prairie et ne découvrit jamais la cassette dont l'existence supposée fut, par la suite, mentionnée dans tous les actes de vente de la parcelle.

A vous de chercher !


Mauro Prosperi. Le marathonien des sables - le 14.03.2025 » 15:00 par Chantal_Belgique

Mauro Prosperi, ancien policier et pentathlète italien, est surtout connu pour sa disparition de 9 jours et sa survie dans le Sahara, alors qu'il participait au Marathon des Sables de 1994 au Maroc .

  

Participation au Marathon des Sables



Informé par un ami, passionné de course à pied, de participer ensemble au « Marathon des Sables* », Mauro Prosperi se met au défi. Il se prépare en courant quotidiennement 40 kilomètres par jour et en réduisant sa consommation d'eau dans le but d'acclimater son corps à la sensation de déshydratation.
Sa femme, bien qu'elle n'ait jamais empêché Prosperi de concourir, exprimait cependant ses inquiétudes, en raison de la nature extrême de l'événement.

*Cette course se déroule dans le Sud marocain en autosuffisance alimentaire (chaque concurrent porte dans son sac à dos son matériel, dont son sac de couchage, ainsi que sa nourriture pour une semaine, soit un sac à dos de 6,5 kg au minimum et de 15 kg au maximum, seule l'eau portée étant fournie) sur une distance, variable d'année en année, d'environ 240 km. L'itinéraire emprunte toutes sortes de terrains : dunes, plateaux caillouteux, pistes, oueds asséchés, palmeraies, petites montagnes, sur 6 étapes de 10 à 90 km, dont une étape marathon d'environ 42 km, une étape non-stop d'environ 90 km en partie de nuit et une étape finale, dite de solidarité, de quelque 10 km.



Perdu dans le désert



Nous sommes le 10 avril 1994. Partant de Foum Zguid, Prosperi (38 ans) démarre avec son ami Manzo et 85 autres coureurs l'ultramarathon, sa première épreuve dans le désert. Au cours des 3 premiers jours du marathon, Prosperi et Manzo ont parcouru 96 kilomètres.
Le 14 avril est la quatrième et la plus longue étape du marathon, s'étendant sur plus de 85 kilomètres de course de jour comme de nuit. En début d'après-midi, Mauro avait laissé Manzo derrière lui pour augmenter son rythme. Alors qu'il était passé à travers quatre points de contrôle et traversait une zone de dunes, une tempête de sables s'est soulevée obscurcissant sa vision. J'ai été carrément avalé par un mur jaune de sable. J'étais aveuglé, je ne pouvais plus respirer. Le sable fouettait mon visage. Par crainte d'être submergé par le sable s'il restait immobile, Prosperi a continué à courir déterminé à pouvoir voir le parcours du marathon. J'ai continué à courir, car je pensais pouvoir voir le sentier. J'étais en septième position et je ne voulais pas perdre ma place. Il faisait presque nuit avant que le vent ne s'apaise. C'est alors je me suis rendu compte que j'avais perdu le sentier. Selon lui, la tempête a duré 8 heures, obligeant l'aventurier à dormir sur les dunes. Une fois les premières lueurs du jour arrivées, l'Italien reprend la course, pensant retrouver le sentier. Quand j'ai réalisé que j'étais perdu, la première chose que j'ai faite était d'uriner dans ma bouteille d'eau de secours, parce que quand vous êtes bien hydraté, votre urine est plus claire et plus potable. Je me suis souvenu de mon grand-père me disait comment, pendant la guerre, lui et ses camarades avait dû boire leur urine lorsque l'eau manquait. Je l'ai fait par mesure de précaution, mais je n'étais pas désespéré. J'étais sûr que les organisateurs me trouveraient bientôt

Conformément au règlement de la course qui conseillait aux concurrents perdus de rester stationnaires et d'attendre les secours, il attendit l'aide. Ce n'est qu'au coucher du soleil qu'il perçu un hélicoptère volant à basse altitude. Pour tenter d'attirer l'attention du pilote, il lança une fusée éclairante dans les airs. De trop faible intensité sous le soleil du désert, le pilote ne la remarquera pas…



Survie dans le désert



Estimant que rester immobile sous le soleil l'exposerait à un coup de chaleur, Prosperi se remit à marcher. Bien que muni d'une boussole, quelle que soit la direction indiquée, il ne remarquait que du sable à l'horizon. Après des heures de marche, il arriva à un sanctuaire maraboutique musulman vacant. À sa grande déception le sanctuaire était inhabité et abandonné depuis longtemps. Je suis tombé sur un marabout, un sanctuaire musulman, où les bédouins s'arrêtent lorsqu'ils traversent le désert. J'espérais qu'il était habité, mais malheureusement il n'y avait personne.
Prosperi utilisa le sanctuaire comme abri les jours suivants, espérant toujours être retrouvé. Dans un premier temps, il se nourrit de ses rations alimentaires en les faisant cuire avec de l'urine fraîche sur son brûleur portable. Il tenta également de maintenir son hydratation en suçant des lingettes humides de son sac, en léchant la rosée des rochers pendant la matinée et en continuant à boire son urine. Ses réserves de nourriture épuisée, il se tourna vers des oeufs d'oiseaux, des insectes, des lézards et même des chauves-souris.
Le quatrième jour de la disparition un avion survole son emplacement. Il trace alors un signal de détresse SOS dans le sable et allume un feu avec son sac à dos, pour créer un signal de fumée. Mais une autre tempête de sable frappe et laisse Prosperi bloqué une nouvelle fois.

Découragé, n'ayant pas réussi à attirer de l'aide, Prosperi écrit un message d'adieu à sa famille avec un morceau de charbon de bois. À l'aide de son couteau de poche, il tente de mettre fin à ses jours en se coupant les veines des poignets. Avec la ferme intention de s'exsanguiner, il s'allonge dans le sanctuaire et attend une mort nocturne. J'étais très déprimé. J'étais convaincu que j'allais mourir et que ce serait une longue agonie, alors j'ai voulu accélérer le processus. Je pensais que si je mourais dans le désert, personne ne me retrouverait et que ma femme ne toucherait pas la pension de la police. En Italie, si quelqu'un disparaît, il faut attendre dix ans avant qu'il ne soit déclaré mort. Au moins, si je mourais dans ce sanctuaire musulman, on retrouverait mon corps et ma femme aurait un revenu. Juste avant son geste de désespoir, Prosperi avait fixé un petit drapeau italien au toit du sanctuaire, espérant que cela aiderait à la découverte de son corps.
Au matin, Prosperi s'est réveillé avec un saignement minime sur ses poignets. En raison de la faible profondeur des incisions qu'il avait faites et de son niveau élevé de déshydratation, le sang dans ses veines s'était coagulé au lieu de circuler librement, assurant ainsi sa survie. Et cette expérience l'a aidé à retrouver confiance et détermination à continuer.

Après avoir quitté le sanctuaire, Prosperi continua à marcher pendant des jours, ne voyageant que lorsque les températures étaient fraîches, tôt le matin et tard le soir. Se déplaçant continuellement en direction des montagnes qu'il remarquait au loin, Prosperi maintenait sa survie en pressant le liquide des racines des plantes.
Le huitième jour de sa disparition Prosperi arrive par hasard sur une oasis. En raison de son niveau élevé de déshydratation il est incapable d'avaler de l'eau, vomissant ses premières gorgées. Il est resté ainsi allongé pendant des heures, buvant périodiquement l'eau pendant le reste de la journée. Le lendemain après avoir rempli son récipient d'eau, il reprend sa marche. Et c'est ainsi que plus tard dans la journée, il identifie des signes de crottes de chèvre fraîches. En suivant la piste des déjection animales et des empreintes de pas humaines Prosperi aperçoit une enfant touareg qui s'occupait des chèvres. S'approchant en implorant son aide, la jeune fille effrayée s'est enfuie en hurlant. Elle m'a regardé en hurlant de terreur. Je l'ai suppliée d'arrêter, mais elle a disparu derrière une dune. Je dois être un spectacle hideux, ai-je pensé. J'ai sorti mon miroir de signalisation et l'ai tourné vers mon visage. J'étais consternée. J'étais un squelette. Mes yeux étaient enfoncés si profondément dans mon crâne que je ne pouvais pas les voir.



Sauvé du désert



La jeune fille revint avec une adulte, qui l'emmenèrent vers une tente berbère dans le camp touareg. Après avoir été soigné par un groupe de femmes qui lui servirent du thé à la menthe et une tasse de lait de chèvre, Prosperi se vit offrir de la nourriture, mais il ne parvint pas à la digérer. Il fut ensuite chargé sur un chameau pendant plusieurs heures par les hommes Touaregs du camp qui le conduisirent au village le plus proche. Là, Prosperi fut remis à une patrouille de la police militaire qui lui banda les yeux, le soupçonnant d'être un espion marocain. Une fois transporté dans une base militaire et interrogé, Prosperi fut identifié et emmené dans un hôpital de Tinduf.

Prosperi avait parcouru 291kilomètres hors du parcours du marathon, traversant la chaîne de montagnes du Jebel Bani et, sans le savoir, traversant également la frontière marocaine vers l'Algérie.



L'après
Les médecins ont rapporté une perte de poids de 15 kg pour Prosperi. 16 litres de liquides intraveineux ont été nécessaires pour compenser sa perte d'eau. Il a subi des dommages au foie ce qui a entravé sa digestion et l'a obligé à manger de la soupe et des aliments en purée pendant des mois. Les reins ont subi des dommages permanents. Prosperi a aussi souffert de crampes aux jambes pendant 1 an. Il lui a fallu, en fait, près de deux ans pour se rétablir.

Suite à sa disparition, le règlement de course du Marathon des Sables a été modifié pour assurer une sécurité accrue aux participants. Les coureurs sont désormais équipés de fusées de détresse plus lourdes et plus grandes, à utiliser en cas de désorientation.

Depuis, Prosperi est revenu au Marathon des Sables à 6 reprises, se classant notamment 13e en 2001. Je ressens une connexion avec ce lieu. J'aime cette clarté. Et voyez-vous, le Sahara m'a épargné la vie. Ces jours dans le désert ont été mes jour les plus heureux.

En mai 2020, Prosperi a publié son livre, écrit en italien, aux côtés de son ex-épouse et co-auteure Cinzia Pagliara, intitulé « Quei 10 Giorni Oltre la Vita (Ces 10 jours au-delà de la vie) »


Source : WIKIPEDIA The Free Encyclopedia


Le secret non élucidé de Agatha Christie - le 01.02.2025 » 18:28 par Chantal_Belgique


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Agatha Christie (1890-1975), surnommé « La reine du Crime » est une femme de lettres britannique, auteur de nombreux romans policiers. La plupart de ses intrigues se déroulent à huis clos, ce qui permet au lecteur d'essayer de deviner l'identité du coupable avant la fin du récit. La saveur de ses histoires réside dans la résolution de l'enquête, souvent improbable, prenant le lecteur par surprise.

Alors que la carrière de Agatha Christie n'est pas encore à l'apogée de sa célébrité, bien qu'elle ait déjà publié plusieurs romans tels « Mort sur le Nil », « Le Crime de l'Orient-Express » - « Les 10 Petits Nègres », Agatha Christie disparaît subitement et reste introuvable pendant 11 jours.
Et aujourd'hui encore, le mystère autour de cette disparition reste entier et signe, peut-être, l'un des scénarios les plus renversants de sa carrière. Car, cette fois-ci, c'est elle le protagoniste.


La disparition



Le 3 décembre 1926, vers 22 heures, Agatha Christie embrasse sa fille pour lui dire bonne nuit, puis annonce à sa cuisinière qu'elle s'en va faire un tour. Sur son passage, elle dépose deux lettres destinées à son mari et à sa secrétaire, fait annuler ses rendez-vous et grimpe au volant de sa Morris Cowley grise. Sa destination ? Personne ne le sait. Très affectée par la mort de sa mère et l'infidélité de son mari, Agatha Christie disparaît.
Le lendemain, la police retrouve sa voiture abandonnée près de l'étang de Silent Pool (Comté de Surrey au sud-est de l'Angleterre). Les phares sont allumés et une portière est ouverte. A l'intérieur un manteau de fourrure et un sac à main.
À l'époque, l'auteure de 36 ans vient de sortir son sixième roman, « Le Meurtre de Roger Ackroyd ». Bien qu'elle ne soit pas encore à l'apogée de la carrière, sa plume est suffisamment reconnue pour susciter l'intérêt de la presse. Et toutes les hypothèses vont alors se succéder, entre accident, agression, suicide, meurtre…


L'enquête



De gigantesques battues sont organisées dans les environs de Newlands Corner (réserve naturelle de 103 hectares dans le Surrey). 15 000 bénévoles assistent la police dans ses recherches. Le Daily News annonce offrir 100 £ à celui qui apportera la moindre information.
Les seuls indices entre les mains des policiers sont les lettres que Agatha Christie a laissées derrière elle et dont l'une d'elle a été détruite par son mari. Bien que cela puisse éveiller les soupçons, une telle réaction s'expliquerait par les rapports conflictuels que cet aviateur du Royal Flying Corps entretenait avec sa femme. Archibald Christie reprochait à sa femme de faire passer ses livres avant leur fille et leur couple. Quant à Agatha Christie, elle ne supportait plus leur histoire depuis qu'elle savait que son mari avait une maitresse avec laquelle il se sentait plus heureux.
L'enquête continue et les témoignages se multiplient. Ainsi, on croise Agatha Christie tantôt habillée en homme, tantôt chez Harrods à Londres. Rien de probant cependant.


L'amnésie !



Le 14 décembre 1926, soit 11 jours après la disparition d'Agatha Christie, la police reçoit une alerte. Elle aurait été aperçue et reconnue par un musicien dans l'hôtel Swan Hydropathic, situé dans le comté du Yorkshire. Là-bas, elle se serait enregistrée sous le nom de la maîtresse de son mari, Teresa Neele. Prévenu, Archibald Christie se rend alors immédiatement sur place et réalise que sa femme ne se souvient absolument pas de ce qu'elle a fait pendant ces 11 jours.
Après l'avoir examinée, les médecins concluent que Agatha Christie serait victime d'une « amnésie » soudaine causée par un choc émotionnel, et mentionne la possibilité d'une dépression nerveuse.


L'après
Face à un tel dénouement, les médias sont frustrés et déçus. A un point tel qu'ils décident de s'en prendre à la romancière en l'accusant d'avoir orchestré sa disparition pour réaliser un coup de pub. Il est vrai que depuis qu'elle a été retrouvée, ses livres se vendent à l'arraché. Cette théorie est couplée avec celle d'une potentielle revanche qu'elle aurait pu prendre sur son mari, dont elle divorcera 15 mois plus tard.

  

Quelques jours plus tard, la romancière reviendra à Londres et n'évoquera jamais ces jours dont elle seule détient la vérité
Que faut-il en penser... à vous de juger !